Le parcours différencié en terminale professionnelle

Mis à jour : novembre 2024

Chaque élève préparant un baccalauréat professionnel bénéficie d’un soutien au parcours depuis la classe de seconde, qui répond à ses besoins, à ses aspirations et à ses projets.

Le volet orientation de ce dispositif permet à l’élève de confirmer, consolider, voire ajuster son projet, en l’accompagnant dans ses choix.

En classe de terminale, l’élève finalise les démarches initiées. Dans la perspective de son projet post baccalauréat, il choisira :

  • soit le parcours de préparation à l’insertion professionnelle ;
  • soit le parcours préparation à la poursuite d’études dans l’enseignement supérieur. 

Objectifs du parcours différencié

Les parcours de préparation à l’insertion professionnelle et de préparation à la poursuite d’études supérieures ont pour buts :

  • De renforcer l’employabilité des élèves souhaitant s’insérer directement après le baccalauréat professionnel et ainsi d’améliorer les taux d’accès à l’emploi ;
  • De mieux préparer les élèves souhaitant poursuivre leurs études et d’améliorer leur réussite. 

Organisation de l’année de terminale professionnelle

Flyer « le parcours différencié en classe de terminale professionnelle »

Depuis la rentrée 2024, l’année de terminale des élèves préparant le baccalauréat professionnel (en tout, 34 semaines de formation + 2 semaines d’examens pour les lycées publics et privés sous contrat) se déroule comme suit :

  • De septembre à mi-mai, un tronc commun :
    • 22 semaines d’enseignement général et professionnel ;
    • 6 semaines de PFMP obligatoires pour le diplôme du baccalauréat professionnel.
  • De mi-mai à début juillet, un parcours différencié de 6 semaines, qui n’entre pas dans le cadre des évaluations certificatives :
    • Le parcours de préparation à l’insertion professionnelle : via une professionnalisation accrue et une insertion professionnelle améliorée, ce parcours vise à accompagner les élèves au-delà du baccalauréat, afin de faciliter la transition complexe entre la formation et l’emploi. 
    • Le parcours de préparation à la poursuite d’études supérieures : il concerne les formations préparant aux diplômes à partir du niveau 5 (BTS), y compris lorsqu’elles sont suivies en apprentissage.

Si le parcours choisi par l’élève ou sa famille n’entre pas dans le cadre des évaluations certificatives, son suivi effectif et l’assiduité de l’élève sont obligatoires et constituent des facteurs clés de réussite de cette période de préparation à l’après-baccalauréat.

Le livret scolaire du lycée professionnel (LSL) intègre rubrique consacrée aux deux parcours de préparation « post-baccalauréat », qui permettra d’y consigner une appréciation sur le parcours des élèves.

Les épreuves du baccalauréat se déroulent en plusieurs temps :

  • une première période d'examens au mois de mai, au terme du tronc commun, avec les épreuves ponctuelles d’enseignement général et d’enseignement professionnel, à l’exception de l’épreuve de prévention-santé-environnement (PSE) et de l’oral de projet. 
    Les contrôles en cours de formation pourront être organisés jusqu’à cette première période des épreuves ponctuelles en mai.
  • une deuxième période d’examens située à la fin du mois de juin, intégrée dans les six semaines de parcours différencié (de préparation à l’insertion professionnelle ou de préparation à la poursuite d’études supérieures), avec les épreuves ponctuelles de PSE et d’oral de projet. 
    Cette deuxième période d’épreuves sera précédée dans la mesure du possible d’un temps de regroupement, d’au plus quelques jours, de tous les élèves concernés au sein de l’établissement pour finaliser la préparation de l’épreuve de PSE et de l’oral de projet.

L’accompagnement à l’orientation et la construction du projet de l’élève

En voie professionnelle, l’objectif de l’accompagnement à l’orientation vise trois objectifs pédagogiques :

  • appréhender les principes de fonctionnement et la diversité du monde économique et professionnel et les perspectives d’insertion offertes par la spécialité ou la famille de métiers ;
  • connaître les possibilités de poursuite d’études post-baccalauréat professionnel ;
  • élaborer son projet d’orientation scolaire et professionnelle.

Le temps dédié à chacun de ces trois objectifs varie selon le niveau d’enseignement et les enjeux associés.

Dans le cadre du cursus de baccalauréat professionnel, les heures de « soutien au parcours » concourent à cet accompagnement à l’orientation.

Les enjeux de la classe de seconde en matière d’orientation sont la consolidation du parcours de l’élève grâce à un test de positionnement en début d’année scolaire et à un accompagnement au choix de spécialité, particulièrement lorsqu’il s’agit d’une seconde par famille de métiers.

En première professionnelle, puis en terminale, cet accompagnement permet l’approfondissement de la réflexion sur son projet et la préparation du choix du parcours différencié pour la fin d’année de terminale. En terminale professionnelle, les élèves se préparent à l’entrée dans l’enseignement supérieur ou dans le monde du travail.

Ainsi, la différenciation des parcours à la fin de la classe de terminale – préparation à l’insertion professionnelle ou préparation à la poursuite d’études – vient tout à la fois parachever les démarches initiées depuis la classe de seconde – voire en amont (parcours Avenir, découverte des métiers) – et ouvrir des perspectives à l’élève quant à la suite de son parcours.

Sur l’ensemble du cycle, l’horaire de soutien au parcours doit permettre aux élèves de se projeter vers une insertion professionnelle ou une poursuite d’études. Sur ce temps, l’accompagnement des élèves peut porter sur :

  • une projection vers l’enseignement supérieur en dépassant l’autocensure et en ouvrant son horizon personnel au-delà des seules représentations des formations rencontrées dans sa famille ou son environnement géographique proche. Il s’agit pour l’élève d’étayer son ambition individuelle par une familiarisation avec les attendus de l’enseignement supérieur. Les différents moyens d’y parvenir peuvent être évoqués en présentant également la validation des acquis de l’expérience ou la formation continue ;
  • une projection vers son insertion professionnelle en faisant évoluer ses représentations du monde économique et professionnel. Il s’agit pour l’élève d’appréhender les principes de fonctionnement et la diversité du monde économique et de distinguer les métiers directement accessibles après le baccalauréat de ceux qui le sont après un diplôme du supérieur ;
  • une réflexion sur ses freins à la mobilité : financiers, physiques, matériels (transport, hébergement, etc.) et cognitifs (crainte de se déplacer, de s’éloigner d’un environnement familier, etc.) ;
  • une préparation à la procédure Parcoursup à partir de l’identification des contenus, des modalités et des attendus des formations de l’enseignement supérieur : hiérarchiser ses choix, formuler d’autres choix, analyser les alternatives, adopter une démarche ouverte de vœux tenant compte de ses chances d’admission, prendre des décisions et suivre les procédures mises en place, repérer les passerelles entre les différentes voies de l’enseignement supérieur, développer ses compétences à s’orienter.

Le processus d’accès aux deux parcours

En début d’année scolaire de terminale

Les parcours différenciés de fin de terminale sont présentés aux élèves.

Les élèves continuent la réflexion sur leur projet professionnel, appuyés par les heures de soutien au parcours.

Une fiche de dialogue est utilisée par l’établissement tout au long du processus permettant aux familles d’exprimer un premier souhait de parcours, au conseil de classe de faire des recommandations et aboutissant à un choix de l’élève (et de sa famille s’il est mineur) et son inscription dans l’un ou l’autre parcours.
Télécharger le modèle de fiche de dialogue entre l’établissement et la famille.

À l’issue du dernier conseil de classe précédant le parcours

Le conseil de classe émet une recommandation motivée concernant le parcours que pourrait suivre l’élève et la consigne sur une fiche de dialogue transmise aux familles.

La recommandation précise le cas échéant les compétences à travailler dans le parcours afin de favoriser la réussite des élèves et sert de base au dialogue lors d’un entretien entre l’élève (et sa famille s’il est mineur) et un membre de l’équipe éducative.

Il est important de noter que la recommandation de l’un ou l’autre parcours ne doit pas se faire de façon mécanique, mais bien en tenant compte de ses vœux et besoins, de ses points forts et de son diplôme.

En outre, les vœux ou l’absence de vœux dans Parcoursup ne déterminent pas le suivi de l’un ou l’autre parcours, même s’ils constituent une étape importante pour les lycéens de terminale professionnelle.

De même, le suivi de l’un ou l’autre parcours ne détermine pas l’émission de vœux Parcoursup, en phase principale comme en phase complémentaire. En particulier, les élèves pourront faire des vœux de poursuite d’études durant la phase complémentaire de Parcoursup quel que soit leur choix de parcours.

À cet égard, il est important que les élèves comprennent que la recommandation du conseil de classe concernant l’un ou l’autre parcours ne constitue pas un « avis Parcoursup ».

Au terme de l’entretien, l’élève, ou sa famille s’il est mineur, se positionne sur l’un ou l’autre parcours.

La famille rend la fiche de choix du parcours qui indique sa décision.

Le chef d’établissement organise le suivi des inscriptions des élèves dans l’un ou l’autre parcours et fixe la date de clôture de celles-ci.

Avant l’entrée dans un parcours

Les élèves souhaitant intégrer le parcours de préparation à l’insertion ne peuvent intégrer effectivement ce parcours que dans la mesure où une convention de PFMP tripartite a été élaborée. Le chef d’établissement vérifie cet élément.

Les élèves n’ayant pas de convention de PFMP sont orientés vers le parcours de préparation à la poursuite d’études.

Les cas particuliers

Certains élèves s’orientent vers un CAP, ou vers une formation courte visant une mention complémentaire/un certificat de spécialisation, ou vers une formation complémentaire d’initiative locale, ou encore souhaiteront préparer un concours (administratif ou relatif à une fonction ou un emploi spécifique, par exemple dans le secteur médico-social).

Certains peuvent également s’engager dans des études par apprentissage.

Il convient donc d’examiner de façon individuelle avec l’élève et sa famille le parcours le mieux adapté à ses souhaits et besoins.

Parcours de préparation à la poursuite d’études supérieures

Ce parcours associe démarche de projet, renforcements disciplinaires ciblés, prise d’autonomie et découverte de l’enseignement supérieur. Ces six semaines de préparation à l’enseignement supérieur visent en effet à projeter les élèves dans leur projet de poursuite d’études et à favoriser la réussite des jeunes à des niveaux 5 et au-delà.

L’enjeu est de permettre à l’élève de gagner en confiance en soi, lever les freins à la prise d’initiative et au travail en autonomie, créer du lien avec les acteurs du supérieur, approfondir les attendus des formations supérieures.

Le parcours consiste donc en six semaines d’enseignement et d’accompagnement représentant 25 heures élève auxquelles s’ajoutent 5 heures de travail personnel, ces heures globalisées étant inscrites à la grille horaire de terminale.

Les 25 heures d’enseignement et d’accompagnement visent deux objectifs :

  • la consolidation et le renforcement disciplinaire et méthodologique ;
  • le développement de compétences psychosociales.

Il est recommandé d’allouer deux tiers du temps pour le premier objectif et un tiers pour le second. 

L'IGÉSR propose des fiches synthétiques concernant les écarts d’attendus entre baccalauréats professionnels et BTS et formule des préconisations.

Les fiches, proposées au téléchargement dans un seul dossier compressé au format .zip, sont mises à disposition progressivement (dernière actualisation le 13/09/2024).

Les tableaux ci-dessous précisent pour chaque discipline ou filière/secteur, la fiche correspondante.

Des temps d’immersion en entreprise ou dans le supérieur

Des temps d’immersion/observation en entreprise peuvent intervenir sur la période de six semaines du parcours, qui ne sont pas des périodes de formation en milieu professionnel. À ce titre, ils ne relèvent pas de l’allocation prévue par le décret n° 2023-765 du 11 août 2023 relatif au versement d'une allocation en faveur des lycéens de la voie professionnelle dans le cadre de la valorisation des périodes de formation en milieu professionnel.

Une grille horaire indicative figure sur la note de service parue au BOEN du 14 mars 2024 relative à la mise en place du parcours différencié. Cette note inclut des suggestions d’organisation pédagogique.

Les intervenants sur le parcours

Si le parcours de préparation à la poursuite d’études supérieures mobilise principalement, des enseignants des matières fondamentales, des matières professionnelles, de langues, d’EPS, d’économie-droit et d’économie-gestion, d’autres personnels et partenaires peuvent intervenir sur les heures laissées à l’autonomie des établissements, possiblement en équipe ou en co-intervention avec les membres de l’équipe pédagogique. Des synergies peuvent être construites avec les dispositifs déjà existants dans l’établissement :

  • les Cordées de la réussite ;
  • le mentorat, dont celui lié aux Cordées de la réussite, au dispositif 1 jeune 1 mentor ou au programme P-Tech ;
  • les colorations de diplômes professionnels.

Le parcours de préparation à l’insertion professionnelle

Ce parcours est destiné aux élèves qui souhaitent une insertion directe après l’obtention de leur diplôme.

Toutefois, il peut également être choisi par des élèves souhaitant effectuer une poursuite d’études courte, y compris par apprentissage, préparant par exemple à une mention complémentaire (futur certificat de spécialisation) ou un titre professionnel (TP), un certificat d’aptitude professionnelle (CAP) en un an, un diplôme de spécialisation professionnelle.

De la même façon, ce parcours peut concerner également les élèves souhaitant s’inscrire dans une formation complémentaire d’initiative locale (FCIL), du fait de la forte alternance de ces formations.

Le parcours repose sur six semaines recouvrant une ou plusieurs périodes de formation en milieu professionnel (PFMP) qui peuvent être effectuées dans différents lieux d’accueil/entreprises.

Chaque PFMP donne obligatoirement lieu à une convention spécifique, signée par l’établissement, l’entreprise – ou l’organisme d’accueil – et l’élève – ou son représentant légal si celui-ci est mineur. Enfin, comme pour toute PFMP, il est nécessaire de désigner un professeur référent de l’élève.

Télécharger la convention-type de PFMP

Chaque PFMP réalisée au titre du parcours ouvre droit au versement de l’allocation instaurée par le décret n° 2023-765 du 11 août 2023 relatif au versement d’une allocation en faveur des lycéens de la voie professionnelle dans le cadre de la valorisation des périodes de formation en milieu professionnel et l’arrêté du 11 août 2023 déterminant les montants et les conditions de versement de l’allocation aux lycéens de la voie professionnelle engagés dans des périodes de formation en milieu professionnel. Le versement est fondé sur les jours de PFMP effectivement effectués et attestés : il conviendra donc que l’attestation de fin de stage soit renseignée afin de permettre le déclenchement du versement de l’allocation.

Tant que l’élève – ou son représentant légal – n’a pas signé de convention, il participe au parcours de préparation à la poursuite d’études supérieures.

À la marge, les élèves peuvent voir leur PFMP réduite pour suivre des cours et activités complémentaires en établissement si le besoin est identifié par l’équipe pédagogique. On peut notamment leur proposer de préparer des certifications favorables à l’employabilité, par exemple la certification sauveteur secouriste du travail (SST). La formation peut être également assurée par l’entreprise, si celle-ci est volontaire.

Un temps de regroupement d’au plus quelques jours de tous les élèves sera aménagé au sein de l’établissement pour finaliser la préparation de l’épreuve de PSE et de l’oral de projet.

La préparation du parcours

Les PFMP du parcours différencié doivent être préparées avec les établissements et les milieux professionnels, ainsi que les élèves, pour identifier les compétences déjà acquises par les jeunes et celles qui pourront être développées ou confortées à l’occasion de ces périodes. Ce travail permet de compléter l’annexe pédagogique de la convention de PFMP.

Il convient en outre de permettre aux professeurs de sensibiliser les élèves à l’importance d’adopter une démarche réflexive sur les situations de travail qu’ils vivent pendant les périodes. L’horaire de soutien au parcours peut permettre de préparer les élèves à cet exercice. Pour y parvenir, l’équipe pédagogique doit aider l’élève à identifier :

  • la contribution des composantes de son activité (objectifs assignés ou attendus, compétences psychosociales mobilisées, attitude au travail, etc.) à son insertion professionnelle ;
  • les composantes de l’environnement dans lequel il exerce l’activité pour lui permettre de conforter sa posture professionnelle (conditions de travail, équipe dans laquelle il s’intègre, valeurs portées par l’entreprise ou la structure).

Pendant la PFMP

Les PFMP effectuées au titre de ce parcours font l’objet d’un suivi tel que prévu par le décret n° 92-1189 du 6 novembre 1992 relatif au statut particulier des professeurs de lycée professionnel. Ces PFMP ne sont cependant pas des périodes entrant dans le cadre de la certification, les compétences développées ne faisant pas l’objet d’une évaluation dans le cadre d’une épreuve. Il n’y a donc pas de visite en vue de l’évaluation certificative (CCF). En conséquence, pour favoriser l’insertion du jeune, le suivi est réel et nécessaire, mais non effectué à des fins certificatives.

Ce suivi de l’équipe pédagogique doit permettre de vérifier la conformité de la PFMP avec les attendus définis par la convention, les activités réalisées et le respect du cadre légal. Il permet également d’accompagner la prise de recul des élèves dans l’action en milieu professionnel.

Après la PFMP

Dans le prolongement des actions potentiellement menées au cours du cursus dans le cadre d’Avenir’ Pro en lien avec France Travail, à l’issue du parcours de préparation à l’insertion professionnelle, les élèves disposent de CV et lettres de motivation reprenant l’ensemble des éléments de leur parcours ainsi que d’une maîtrise des outils permettant la recherche d’emploi et le dépôt de candidatures.

Par ailleurs, selon le souhait de la structure d’accueil de l’élève, celle-ci peut remettre un document mentionnant les compétences mises en œuvre et/ou acquises.

Enfin, en vue de permettre le versement de l’allocation de l’État correspondant aux jours de PFMP effectués par l’élève, le chef d’établissement doit réceptionner l’attestation de fin de stage signée par la structure d’accueil de l’élève (prévue en annexe 3 de la convention de PFMP), avant la sortie des élèves des bases informatiques de l’éducation nationale.

Ressources

Textes réglementaires

La note de service relative aux Parcours de préparation à l’insertion professionnelle et à la poursuite d’études supérieures en classe de terminale de baccalauréat professionnel est parue au BOEN du 14 mars 2024.

La grille horaire du baccalauréat professionnel est définie par l'arrêté du 21 novembre 2018 relatif aux enseignements dispensés dans les formations sous statut scolaire préparant au baccalauréat professionnel Arrêté Grille horaire bac pro.

Ressources pédagogiques

Exemples de calendriers annuels de PFMP

Ces quatre exemples de calendriers annuels de PFMP 2023 à 2025 sont proposés par des établissements scolaires.

Vademecum

Certains éléments de ces vademecum, réalisés dans le cadre des mesures liées à la transformation de la voie professionnelle en 2019, peuvent aider à mettre en place le soutien au parcours.

Plan national de formation sur les mesures de la réforme des lycées professionnels (mai 2024)

Accédez aux webinaires et présentations du plan national de formation sur la réforme des lycées professionnels