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Des cycles de conférences et de débats en économie
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Se former, mettre à jour ses connaissances disciplinaires sur les questionnements actuels avec Le printemps de l'économie et Les journées de l'économie.
Mis à jour : novembre 2023
Le printemps de l'économie
Le printemps de l’économie est un cycle annuel de conférences et de débats, gratuits, ouverts sur inscription, à destination des élèves et de leurs professeurs. Cet événement se tient habituellement à Paris au mois de mars. En raison de la situation sanitaire, les conférences se tiennent dorénavant en automne.
Édition 2024
La 12e édition du printemps de l'économie se tiendra du 2 au 5 avril 2024.
Pour consulter le programme et les modalités d'inscription, rendez-vous sur le site du printemps de l'économie.
Édition 2023
Le printemps de l'économie s'est tenu du 5 au 7 avril 2023 sur le thème Action ! L'heure de l'engagement.
Édition 2022
Le printemps de l'économie s'est tenu du 18 au 20 octobre 2022 sur le thème Sobriété : l'essence de demain ?
Édition 2021
Le printemps de l’économie s’est tenu cette année du 12 au 15 octobre 2021.
Les 31 sessions, qui constituent cette dernière édition tentent, par leur diversité, d’aborder les grands défis auxquels nos sociétés doivent faire face et les alternatives qui se présentent à elles. Les débats ont alimenté cette année le thème : Bifurcation, l’heure des choix.
Édition 2020
Le printemps de l’économie s’est tenu en ligne du 13 au 16 octobre 2020 sur le thème Guerres et Paix. Quels combats pour un monde plus solidaire ?
Les journées de l'économie (Les Jéco)
Les journées de l’économie (Jéco) est un cycle annuel de conférences et de débats, gratuits, ouverts sur inscription, à destination des élèves et de leurs professeurs.
Édition 2023
L'édition 2023 des journées de l’économie se tiendra du 14 au 16 novembre 2023 autour du thème Surmonter nos fragilités.
Pour consulter le programme et les modalités d'inscription, rendez-vous sur le site des journées de l'économie.
Édition 2022
La 15e édition des journées de l’économie s’est déroulée les 15, 16 et 17 novembre 2022 autour du thème Bifurcation des économies : quel futur ?
Édition 2021
La 14e édition des journées de l’économie s’est déroulée les 3, 4 et 5 novembre 2021 autour du fil rouge Faire des utopies une opportunité.
Édition 2020
L’édition 2020 des journées de l’économie est une édition uniquement virtuelle ! L’ensemble des conférences s’est tenu les 17, 18 et 19 novembre sur le thème Réinventons le progrès ensemble. Au cours de ces trois jours, l’actualité sanitaire et économique a été interrogée sous différents angles. La quarantaine de conférences, désormais disponible en rediffusion à la demande, se fait l’écho de la richesse et de la diversité des problématiques posées.
Une sélection de conférences en lien avec les programmes
Sélectionner les conférences en triant par lycée, niveau et entrée de programme.
72 résultats
Quelle mobilisation collective contre la pauvreté après la crise Covid ?
Technologique
Terminale - série STMG - économie
Thème 6 « Comment l’État peut-il intervenir dans l’économie ? »
Modérateur: Giesbert Jean-Christophe (ancien directeur de la rédaction de la Dépêche du Midi)
Intervenants: Artus Olivier (Recteur de l'Université catholique de Lyon)
Barret Philippe (Directeur Général, Groupe APICIL )
Huillery Elise (Professeure de sciences économiques, Université Paris-Dauphine)
Le Minez Sylvie (Responsable de l’unité des études démographiques et sociales de l’Insee)
Thollot Sébastien (Secrétaire général de la fédération du Rhône du Secours populaire français)
Évènement: Les Journées de l’Économie 2021
Présentation:
Coronavirus et confinements ont exacerbé et rendu plus visibles certaines inégalités et certaines formes de pauvreté. En réponse, des efforts très substantiels de protection sociale ont permis de limiter les conséquences de tels chocs. Pour autant, des réformes envisagées avant la crise, comme celle du projet de revenu universel d’activité, ont été freinées ou n’ont pu être enclenchées. Opérateurs et experts souhaitent un nouveau souffle et des efforts en matière de lutte contre la pauvreté. Quels constats produire sur les impacts de la crise ? Quelles nouvelles dispositions envisager ? Quels sont les jeux d’acteurs à l’œuvre ?
Pour un nouveau multilatéralisme ?
Technologique
Terminale - série STMG - économie
Thème 8 « Comment organiser le commerce international dans un contexte d’ouverture des échanges ? »
Session: #7 Session Les Economiques avec le CEPII, conçue par Michel Fouquin, Conseiller scientifique, CEPII, membre du Conseil scientifique du Printemps de l'économie
Modérateur: Christian Chavagneux, éditorialiste, Alternatives économiques
Intervenants: • Sébastien Jean, Directeur du Cepii
• Margaret K. Kyle, Professeur d'Economie, MINES ParisTech (CERNA de l'Ecole des Mines)
• Mathilde Lemoine, Cheffe économiste du groupe Edmond de Rothschild. Professeure en macro-économie internationale à Sciences-Po Paris
• Farid Toubal, Professeur d'Economie. Université Paris-Dauphine - PSL (LEDa) , CEPII
Évènement: Le Printemps de l'économie 2021
Présentation:
Les attaques répétées du Président Trump ont mis à mal certaines institutions multilatérales qui étaient déjà souvent contestées pour leurs insuffisances. Quatre décennies de mondialisation plus ou moins heureuses qui avaient permis notamment de faire reculer la pauvreté et de contribuer à la baisse des prix des biens de consommation, mais elles montraient aussi, de plus en plus, les limites du système économique mondial avec notamment la montée des inégalités internes aux nations, la destruction des écosystèmes, la sur-spécialisation des économies.
La crise actuelle et la nouvelle présidence américaine doivent être l’occasion de repenser le multilatéralisme.
En dehors du climat, question centrale abordée par ailleurs, il semble que parmi les sujets les plus urgents à affronter on peut citer:
1. La sécurité des approvisionnements. En effet la pandémie a révélé la fragilité des approvisionnement de certains produits de santé et plus récemment encore celle de composants électronique au cœur de la révolution numérique
2. Les questions liées à la protection de la propriété intellectuelle. C’est une question qui a pris un caractère aigu par exemple pour les vaccins. Peut-on, doit-on, imposer l’idée de bien public mondial, dans quels cas ? A l’inverse doit on renforcer la protection de certains équipement industriels, limiter la concentration de certaines industries numériques en Asie, imposer le principe de réciprocité dans l’accès aux marchés notamment à ceux liés aux GAFAM etc.
3. Créer une imposition mondiale minimale sur les plus grosses fortunes et sur les entreprises les plus rentables en vue de faire face aux charges des dettes publiques et de façon à réduire les inégalités.
4. Enfin pour faire face aux conséquences de l'explosion des dettes publiques et des inégalités, quel devrait être le rôle de la coopération financière internationale ?
Rebâtir la souveraineté technologique
Technologique
Terminale - série STMG - économie
Thème 8 « Comment organiser le commerce international dans un contexte d’ouverture des échanges ? »
Modérateur: Vittori Jean-Marc (Editorialiste Les Echos)
Intervenants: Bernard Bruno (Président de la Métropole de Lyon)
Cohen Elie (Directeur de recherche CNRS)
De la Tour d'Artaise Thierry (PDG du groupe SEB)
Goulard Sylvie (Second Sous-gouverneur, Banque de France)
Jean Sébastien (Directeur du CEPII)
Loesekrug-Pietri André (Président de JEDI)
Évènement: Les Journées de l’Économie 2021
Présentation:
Nous vivons un temps de transformations profondes. Parfois nous en sommes conscients et contents, comme quand nous utilisons de plus en plus d’outils numériques. Parfois les changements sont lointains, angoissants, c’est le cas du changement climatique notamment ou des nouveaux rapports de force géopolitiques, notamment la rivalité entre la Chine et les Etats-Unis.
Le Covid a révélé les interdépendances globales. Il a mis à nu nos fragilités, il a désorganisé les flux d’échanges globaux. C’est pourquoi nous devons repenser l’économie et nos comportements individuels : d’où viendront les jobs demain ? Faut-il revenir à des « politiques industrielles » nationales, comme on a pu en mener pour reconstruire après la guerre ou développer les pays émergents ? Ou, au contraire, faut-il combiner l’échelon européen et les initiatives nationales, joindre à l’impulsion publique, le dynamisme privé, impliquer les acteurs locaux, les citoyens- consommateurs que nous sommes tous ? Comment rattraper notre retard technologique, mobiliser notre jeunesse et ses talents ? Comment produire plus chez nous sans oublier tout ce que le commerce ouvert nous apporte, à commencer par des produits divers et abordables et des débouchés pour nos propres productions ?
Nous voulons défendre nos valeurs, notre mode de vie européen et être plus que les spectateurs passifs d’un affrontement qui se jouerait entre l’Amérique et l’Asie.
Nous voulons reconstruire après l’épidémie. Et autant que possible, faire mieux. La crise nous donne une chance de repartir sur de meilleures bases.
Tels sont les enjeux qui seront au cœur de nos échanges.
Politique de bifurcation de l’organisation des chaînes de valeur mondiales dans une économie décarbonée
Technologique
Terminale - série STMG - économie
Thème 8 « Comment organiser le commerce international dans un contexte d’ouverture des échanges ? »
Session: #9 Session du LEDa/Université Paris Dauphine - PSL, conçue par El Mouhoub Mouhoud, Président, Université Paris Dauphine-PSL, membre du Conseil scientifique du Printemps de l'économie
Modérateur: Bénédicte Tassart, Rédactrice en chef, Service Etranger et Questions européennes, RTL
Intervenants: • Anne-Sophie Alsif, cheffe économiste, BDO, Professeur à Paris I Panthéon Sorbonne
• Sébastien Jean, Directeur, CEPII
• El Mouhoub Mouhoud, Président, Université Paris-Dauphine-PSL
Évènement: Le Printemps de l'économie 2021
Présentation:
Ouverture de la journée par El Mouhoub Mouhoud, Président, Université Paris-Dauphine-PSL
L'hypermondialisation des chaines de valeurs des années 1990-2000 est allée de pair avec une économie ultracarbonée. Réussir la transition écologique en créant de nouveaux emplois nécessite de penser un nouveau rapport des économies européennes à la mondialisation et à l'organisation des chaines de valeurs mondiales des différents secteurs clés de l'industrie et des services et d'utiliser les relocalisations comme instrument de développement des territoires et de compétitivité technologique européenne. Au-delà des aides financières directes souvent inefficaces, il est urgent de revoir les règles du jeu pour favoriser une parfaite traçabilité des chaines de valeurs mondiales.
Faut-il démanteler les GAFAM ?
Technologique
Terminale - série STMG - économie
Thème 8 « Comment organiser le commerce international dans un contexte d’ouverture des échanges ? »
Session: #19 Session de l’INSEEC U., conçue par Julien Pillot, enseignant - chercheur à INSEEC School of Business & Economics, Responsable du Pôle Valorisation de la recherche (Inseec U.), membre du Conseil scientifique du Printemps de l'économie
Modérateur: Thibault Lieurade, Chef de rubrique économie, The Conversation France
Intervenants: • François Lévêque, Professeur d'économie, Mines ParisTech
• Frédéric Marty, Chargé de recherche, CNRS GREDEG (sous réserve).
• Aurélien Portuese, Professeur de droit, Dr Antitrust & Innovation Policy, ITIF
• Julien Pillot, enseignant - chercheur à INSEEC School of Business & Economics, Responsable du Pôle Valorisation de la recherche, Inseec U.
Évènement: Le Printemps de l'économie 2021
Présentation:
La digitalisation accélérée de l'économie a assis la domination de titans du numérique, au premier rang desquels figurent les GAFAM (Google, Amazon, Facebook, Apple, Microsoft). A la tête de produits et services que certains utilisateurs estiment peu contournables, ils auraient également acquis un pouvoir de marché et une connaissance intime des utilisateurs qui inquiètent les économistes et les législateurs, tant et si bien que la question de leur démantèlement éventuel est aujourd'hui clairement posée. Faut-il pour autant en arriver là ? D'autres mécanismes de régulation sont-ils envisageables ? Pour quels risques, mais aussi quelles efficiences potentielles ?
Cette session des Printemps de l'économie vous permettra de mieux connaître les sources de pouvoir et d'influence des GAFAM, et de vous positionner face à leur potentiel démantèlement à l'issue d'un vote interactif qui viendra clôturer débat contradictoire à la confluence de l'économie, de la politique et du droit.
L’union européenne face au duopole sinoaméricain
Technologique
Terminale - série STMG - économie
Thème 8 « Comment organiser le commerce international dans un contexte d’ouverture des échanges ? »
Session: #15 Session Les Economiques, enregistrée le 14 octobre 2020
Intervenants: Christian Saint-Etienne, titulaire de la Chaire Economie Industrielle du Cnam
Évènement: Le Printemps de l'économie 2020
Présentation:
Le conflit pour la domination mondiale entre la Chine et les Etats-Unis va dominer la géostratégie mondiale au cours du prochain quart de siècle. Il se double d'une lutte entre les deux pays pour avoir le leadership dans la révolution numérique que ces deux pays dominent complètement avec les Gafam et les Bathx. Il n'y a pas d'équivalents européens !
Comment l'Europe peut-elle encore relever le défi alors que sa non puissance est consubstantielle au traité de Rome ? Quelles innovations institutionnelles et orientations stratégiques peut-on proposer pour permettre à l'Europe de ne pas se faire écraser par ces deux géants ?
La Chine et l'occident : l'inévitable affrontement ?
Technologique
Terminale - série STMG - économie
Thème 8 « Comment organiser le commerce international dans un contexte d’ouverture des échanges ? »
Modérateur: Fouquin Michel (Conseiller au CEPII)
Intervenants: Antonin Céline (Economiste senior à l’OFCE (Sciences Po) et chercheur associé au Collège de France)
Dufour Jean-François (Directeur, DCA Chine-Analyse)
Macaire Camille (Économiste à la Banque de France et chercheuse associée au CEPII)
Renard Mary-Françoise (Professeur de Sciences Economiques, Université d'Auvergne)
Évènement: Les Journées de l’Économie 2021
Présentation:
La Chine et l’ensemble de l’Asie orientale en développement accélèrent leur montée en puissance grâce notamment à leur capacité à surmonter les crises, au dynamisme de leurs exportations des biens de la révolution numérique. Par sa dimension même et par ses choix idéologiques la Chine remet en question l’ordre mondial et affiche ses ambitions de leadership mondial, provoquant une réaction forte des Etats-Unis au nom de sa sécurité nationale.
• Mesurer les progrès technologiques de la Chine ses points forts et ses points faibles
• Evaluer les progrès de la diplomatie économique de la Chine , diplomatie des vaccins et des routes de la soie
• Faire de la monnaie chinoise une monnaie concurrente du dollar
• Les réactions américaines entre protectionnisme et plans de développement technologiques : évaluer l’impact des mesures de protection américaines, que penser de l’attitude de l’Europe, vis-à-vis de la Chine, notamment sur la question de l’accord sur les investissements. Telles sont quelque unes des questions que nous aborderons.
Bâtir une France de la transition en excédent commercial
Technologique
Terminale - série STMG - économie
Thème 8 « Comment organiser le commerce international dans un contexte d’ouverture des échanges ? »
Session: #6 Session Xerfi, conçue par Olivier Passet, Directeur de la recherche, Xerfi
Modérateur: Olivier Passet, Directeur de la Recherche, Directeur des synthèses économiques, Xerfi
Intervenants: • Anaïs Voy-Gillis, Chercheuse associée, Université de Haute Alsace
• Alexandre Mirlicourtois, Directeur de la conjoncture et de la prévision, Xerfi
• Philippe Gattet, Directeur d'études, spécialiste de stratégie des entreprises, Xerfi
Évènement: Le Printemps de l'économie 2021
Présentation:
Transition écologique, transition digitale, « silver » économie, ces trois grandes forces de transformation agissent déjà puissamment sur la reconfiguration productive des pays avancés. Dans ces trois domaines, les politiques publiques privilégient aujourd’hui l’utilisation, la diffusion desprocess et des pratiques qui s’inscrivent dans le sens du progrès : elles incitent et cofinancent l’isolation thermique, subventionnent le véhicule électrique, taxent les pratiques polluantes, se préoccupent de la digitalisation de l’administration, de nos industries, notamment des PME, et mutualisent le coût de la santé. Le plan de relance se revendique comme un grand plan d’investissement. Cela n’en fait pas pour autant un plan d’offre, garantissant que s’organise sur le territoire une offre de matériaux, de technologies qui viendront en appui des transformations, sans dépendance excessive aux importations. In fine, quand le gouvernement finance le climat, le numérique ou la santé, renforce-t-il le tissu productif local, où les entreprises chinoises, américaines ou allemandes ? Cette question du bon positionnement de nos filières est l’angle mort de nos politiques. Or dans ces trois domaines, la maîtrise des segments de production à forte valeur ajoutée et des matières premières est un enjeu stratégique crucial. Le positionnement des pays sur ces filières, en amont de la transformation, conditionne leur puissance économique future et la maitrise des coûts. L’économie française dispose-t-elle aujourd’hui des capacités financières, productives et humaines pour extraire de la valeur dans ces trois champs stratégiques ? Dans la transition écologique qui s’accélère, dispose-t-elle notamment d’une maîtrise suffisante des technologies et matières premières clés ? Investit-elle les maillons de la chaîne de valeur essentiels à une croissance décartonnée, mobilisant des emplois ancrés sur le territoire et sans dépendance excessive à l’égard du reste du monde ? Dispose-t-elle des groupes et des PME qui lui permettront à terme d’être exportatrice nette ? Cette question sera déclinée dans les deux autres domaines (digital et santé). La session sera l’occasion de mettre en avant la spécialisation souvent méconnue des entreprises françaises dans ces domaines moins visibles du B-to-B et de sensibiliser sur la nécessité de concevoir une véritable politique industrielle de la transition, non exclusivement centrée sur la dépense ou les taxes.
Union européenne et Royaume-Uni, rivaux ou partenaires ?
Technologique
Terminale - série STMG - économie
Thème 8 « Comment organiser le commerce international dans un contexte d’ouverture des échanges ? »
Intervenants: Henricson-Bell Olaf (Europe Director at Cabinet Office, UK Government)
Pineau Garance (Directrice de cabinet du secrétaire d’État chargé des affaires européennes)
Pisani-Ferry Jean (Titulaire de la chaire Tommaso Padoa-Schioppa à l’Institut universitaire européen de Florence)
Schwarzer Daniela (Directrice de Recherche membre du comité exécutif et directrice du programme Europe au sein du German Marshall Fund of the United States (GMF))
Évènement: Les Journées de l’Économie 2021
Présentation:
Get Brexit done (réaliser le Brexit) : cinq ans durant, la question a empoisonné la politique britannique et les relations avec l’Union européenne. Le Brexit est une réalité, la question maintenant est de savoir quoi en faire.
L’Union européenne reste, et de loin, le premier partenaire commercial des Britanniques. Le Royaume-Uni demeure un partenaire important de l’Union, la principale place financière du continent et la seule qui ait actuellement une envergure mondiale. À l’heure où les États-Unis se focalisent sur la rivalité avec la Chine, et dans un environnement devenu plus hostile, l’intérêt mutuel est à la coopération. Distancée dans l’économie numérique, industriellement menacée, affaiblie par la crise sanitaire, l’Europe – dont la Grande-Bretagne continue de faire partie – aurait toute raison de s’épargner le coût d’une dislocation économique et géostratégique. Sur les grands sujets d’ailleurs – sécurité, libertés, normes sociales, climat, et bien d’autres – nos préférences sont très voisines, beaucoup plus similaires même qu’entre une rive et l’autre de l’Atlantique.
Pour cela trois obstacles doivent être surmontés. Le premier tient à la dégradation de la confiance mutuelle qui s’est graduellement produite au fil de la très longue et difficile négociation qui a abouti à la sortie du Royaume-Uni. En matière européenne, Londres avait toujours été un partenaire difficile. Après les volte-face qui se sont succédées depuis 2016 et les demandes de renégociation partielle de l’accord de sortie, auxquelles s’ajoutent désormais l’annonce surprise de l’alliance Aukus, le partenaire n’est plus jugé fiable. Cette confiance peut-elle être rebâtie ? Comment ?
Le deuxième obstacle et politique : outre-Manche le débat n’est pas clos et pour celles et ceux qui ont investi leur capital dans le Brexit, à commencer par le Premier ministre, tout rapprochement avec l’UE ferait figure de recul. L’étendard de Boris Johnson, c’est Global Britain. Quant aux États de l’Union, ils continuent de craindre qu’un rapprochement avec Londres serve d’argument à d’autres candidats potentiels à la sortie : si le meilleur des deux mondes est possible, pourquoi s’en priver ? C’est largement pour ce motif politique que les projets de partenariat continental n’ont pas connu le début d’une esquisse de réalisation. Cet obstacle est-il circonstanciel, ou profond ?
Enfin et c’est le troisième obstacle, quel devrait être le contenu d’un partenariat ? Pour les échanges de biens, comme pour les services dont le Royaume-Uni est un grand exportateur, la conformité à aux règles de l’Union commande l’accès à ce qui demeure le plus grand marché du monde. L’UE est très claire là-dessus et comme l’a montré le règlement sur la protection des données, elle conserve par ailleurs une capacité inégalée à exporter ses normes. Mais du point de vue britannique, il serait absurde d’avoir choisi de sortir pour se borner à adopter, sans plus avoir voix au chapitre, les législations de son grand voisin. « Reprendre le contrôle », c’est par définition se distinguer.
Cela ne veut pas dire que la contradiction est sans solution. La faiblesse de l’UE, ce sont la lourdeur de ses procédures et le caractère inertiel de sa législation, fruit de multiples compromis entre des intérêts contradictoires. Là est l’espace pour Londres : non pas dans l’illusion d’un « Singapour sur Tamise » sans assise politique, mais dans la construction d’un système réglementaire agile, qui ne contredise pas celui de l’UE mais qui, pour les données, la finance ou les biotechs, prenne de l’avance et serve de tête chercheuse. Ce serait évidemment un défi sérieux pour les 27, qui devraient s’interdire l’impérialisme normatif, et pour Londres, qui devrait s’en tenir à une forme de concurrence coopérative. Cela demanderait aussi des règles du jeu claires, qui lient étendue de la divergence réglementaire et degré d’accès au marché. Est-ce souhaitable, est-ce possible ?
Climat - mais que fait la finance ?
Technologique
Terminale - série STMG - économie
Thème 9 « Comment concilier la croissance économique et le développement durable ? »
Modérateur: Monnet Eric (Directeur d'études à l'EHESS, professeur à l’École d’Économie de Paris )
Intervenants: Grandjean Alain (Président de la Fondation Nicolas Hulot)
Grenier Pierre-Henri (Directeur Exécutif Banque de la Transition Energétique, Banques Populaires)
Pereira Da Silva Luiz (Directeur Général Adjoint, Banque des Règlements Internationaux (BRI))
Sadoun Eva (Co-fondatrice & Présidente - LITA.co)
Scialom Laurence (Professeure des Universités à l’Université Paris Ouest Nanterre la Défense)
Évènement: Les Journées de l’Économie 2021
Présentation:
La protection de la planète et la transition vers de nouveaux modes de production ne pourront se faire sans un changement radical de la prise en compte du risque et des modes de financement de l'investissement. Cette conférence présente la manière dont les acteurs et les régulateurs de la finance tentent de faire face à ces défis en évitant les pièges d'un écoblanchiment (greenwashing) opportuniste de pratiques antérieures.