Accédez aux ressources directement depuis les compétences, savoirs, activités professionnelles, centres d'intérêt des référentiels, ainsi qu'aux sujets d'examen et séminaires nationaux.
publié le 10 jan 2015 par Jean-Christophe DUCHATEAU
L’entreprise, n°3 européen en électronique de défense et sécurité, est présente dans trois grands domaines : la navigation et les systèmes aéronautiques, l’optronique et les systèmes aéroterrestres, la sécurité. Elle est notamment leader mondial des commandes de vol pour hélicoptères et de biométrie à base d’empreintes digitales.
Cette entreprise développe et commercialise des technologies clés dans les domaines de l’électronique, de la micro-mécanique, de l’optique, du traitement et de la transmission d’informations. Ses équipements et ses systèmes intégrés contribuent, dans le monde entier, à la sûreté du transport aérien, à la sécurisation du transport d’informations confidentielles, à la sécurité du citoyen et au maintien, au plus haut niveau, des capacités de défense des états.
Depuis la fin des années 1980, cette société a développé toute une panoplie de drones, depuis ceux que le fantassin peut lancer à la main, jusqu’au drone lourd "de croisière" ayant une autonomie de vol de plus de 20 heures. Elle fournit aussi, autour de ses drones, le système logistique de leur lancement/récupération, de la préparation de missions et du dépouillement des résultats, ainsi que de la formation des personnels à l’utilisation et à l’entretien.
L’entreprise implante sur les drones une motorisation. Cette motorisation est commandée à distance par des servomoteurs.
La pièce étudiée est un pointeau présent sur le carburateur de la motorisation d’un drone. Le carburateur a une double fonction :
La quantité de mélange passant à travers le carburateur est gérée par le pointeau. Sa fonction est de limiter le passage du fluide par obturation partielle ou totale de l’orifice d’admission.
La production annuelle des drones est de l’ordre de 300 ensembles, précédée d’une série de 10 ensembles prototypes sur des moyens de production « classiques ».
Le service industrialisation profite de l’achat d’une nouvelle machine, TWIN 32 GILDMEISTER avec toutes les options sauf axe B et axe Y(Cinématique variante 4), pour transférer la production de ces pointeaux sur ce nouveau moyen de production. Suite à une expertise des pièces prototypes, une étude critique des choix technologiques a été réalisée.
Conduire l’étude du transfert de production en tenant compte de l’expertise réalisée. Celle-ci se présente en trois parties :