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publié le 06 avr 2017 par Jean-François SERREAU
Afin d’améliorer son bilan carbone, la SNCF, comme d’autres utilisateurs ou fabricants d’engins ferroviaires, s’est intéressée à la propulsion hybride, déjà apparue dans le domaine automobile. Ainsi, elle a lancé à partir de 2007 le projet PLATHEE (PLAte-forme pour Trains Hybrides Économes en énergie et respectueux de l'Environnement) cofinancé par l’ADEME.
Ce projet visait à explorer diverses technologies à différents niveaux de la chaine de conversion d’énergie. Par exemple, côté génération, en plus du groupe Diesel, la plateforme embarquait une pile à combustible et, côté stockage, des packs de batterie Nickel-Cadmium et de supercondensateurs. Mais il a également porté sur la gestion et l’efficacité énergétique ainsi que la conception optimisée.
Partie A : étude et dimensionnement de la structure d'hybridation de la locomotive à partir des besoins énergétiques à couvrir.
Partie B : étude et dimensionnement des éléments de stockage.
Partie C : étude et dimensionnement du convertisseur statique d'hybridation.
Partie D : utilisation d'une pile à combustible comme source primaire d'une locomotive hybride.