Accédez aux ressources directement depuis les compétences, savoirs, activités professionnelles, centres d'intérêt des référentiels, ainsi qu'aux sujets d'examen et séminaires nationaux.
publié le 26 jan 2018 par Jean-Christophe DUCHATEAU
Depuis quelques mois, l'entreprise "BQ" commercialise sa nouvelle imprimante 3D, la Witbox. Cette imprimante permet par usinage additif (dépôt de matière par couche) la réalisation de pièces en différentes matières, que ce soit dans un but professionnel ou ludique. Le modèle présenté ici, par son coût, sa taille et sa précision est plutôt destiné à des particuliers.
Une tête d’extrusion chauffante fait fondre un fil de plastique. Cette tête est déplacée dans un plan horizontal pour déposer sur un plateau une couche de plastique fondu aux endroits correspondants à la forme à imprimer. Puis le plateau descend d’une valeur réglable et la tête d’extrusion vient déposer une nouvelle couche. Cette opération est répétée jusqu’à la création complète de l’objet.
Sur le forum des utilisateurs, le responsable du support technique note qu’une remarque apparaît souvent : "Il faut s’y reprendre à plusieurs fois pour réussir à enfiler le fil dans la buse d’extrusion." Pour répondre à l’attente de qualité de ses clients, la société "BQ" décide de lancer une étude sur ce problème. Le service technique est donc chargé d’analyser et de corriger ce dysfonctionnement. Pour cela, on propose l’organisation suivante : - 1ère étape : Analyse du système, - 2ème étape : Identification des causes, - 3ème étape : Préparation de la modification et remontage - 4ème étape : Validation de la modification.