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publié le 24 juin 2019 par Benoît GOULET
Durée : 4 heures - Coefficient : 4
Mise en situation :
Les ouvrages d’art tels que les ponts deviennent de plus en plus impressionnants, atteignant des portées toujours plus longues. Il est nécessaire d’assurer l’accessibilité dans toutes les zones, même les plus difficiles. Une entreprise française de BTP, déjà en possession d'un petit camion passerelle, souhaite augmenter sa capacité d'inspections de ponts, sans devoir changer de camion.
Partie 1 : Études fonctionnelle et de non basculement du camion à passerelle télescopique
Le client souhaite pouvoir inspecter une zone la plus grande possible sous le tablier en limitant le nombre de manœuvres de la passerelle et de déplacements du camion. L’ajout de la passerelle télescopique engendre une augmentation de la masse du système, ce qui impose une vérification du non basculement de l’ensemble.
Partie 2 : Étude de la réglementation européenne
Le client souhaite se développer à l’international. Il faut pour cela revoir une ou plusieurs dimensions.
Partie 3 : Étude de dimensionnement
Le surpoids dû à la fonction télescopique de la passerelle implique une vérification des vérins linéaires du basculeur, mais aussi une vérification de la tenue mécanique de son axe.
Partie 4 : Reconception d'une partie du faux-châssis
Le client souhaite pouvoir intervenir dans tous les pays européens. Il faut pour cela diminuer la hauteur hors tout dans la configuration « passerelle repliée ». Pour cela, un nouveau vérin rotatif a été choisi, plus fin, mais il faut encore descendre de 60 mm son plateau support, en modifiant le faux-châssis.