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publié le 10 mar 2017 par Jean-Christophe DUCHATEAU
Au début de l’aviation, les avions étaient équipés de moteurs à hélices.
L’invention des réacteurs a permis d’atteindre des vitesses de vol beaucoup plus importantes. Dans le cas d'un réacteur simple flux, le principe de fonctionnement est le suivant :
Ce type de réacteur présente un débit massique assez faible et une vitesse d’éjection élevée. C’est une solution efficace (utilisée par exemple pour les avions de chasse) mais bruyante et présentant un mauvais rendement. Elle n’est donc pas adaptée pour l’aviation civile.
Dans ce cas, on préfère utiliser des réacteurs doubles flux. Le flux d’air est alors réparti en deux flux distincts :
Le flux secondaire permet d’augmenter considérablement le débit massique et, sa vitesse étant beaucoup plus faible, assure une isolation phonique du flux primaire.
Pour optimiser le rendement du réacteur, il est nécessaire que la combustion de l’air avec le kérosène soit maximale. Or la qualité de cette combustion dépend fortement du taux de compression.
Le boîtier de calage, objet de l’étude, participe à la maîtrise de ce taux en agissant sur le flux d’air.
L’étude est composée de 4 parties qui se suivent, mais qui sont indépendantes. Il est proposé au candidat de répartir son temps de travail sur les différentes parties de l’étude de la façon suivante :