
publié le 21 sep 2018 par José PAUTREL
L’échec en premier cycle universitaire focalise l’attention dans le débat public. Si les « décrocheurs » de STS, en proportion aussi nombreux que ceux de l’université, ont moins retenu l’attention jusqu’à présent, c’est probablement parce qu’ils bénéficiaient d’un meilleur accès à l’emploi. Mais cet avantage disparaît pour les sortants de la Génération 2010.