Accédez aux ressources directement depuis les compétences, savoirs, activités professionnelles, centres d'intérêt des référentiels, ainsi qu'aux sujets d'examen et séminaires nationaux.
L’édition génomique désigne la modification ciblée du matériel génétique d’un organisme vivant, procaryote ou eucaryote. Les mutations introduites peuvent concerner un à quelques nucléotides (substitutions, insertions, délétions) ou un gène entier qui peut être introduit (knock-in) ou inactivé (knock-out). Selon le but recherché, différents outils moléculaires sont employés. Cet article propose de passer en revue les principaux systèmes d’édition génomique, de leur fonctionnement moléculaire à leurs applications en recherche fondamentale et pratique, ainsi que leurs limites et les pistes de recherche pour les dépasser.
La plasticité cérébrale correspond à la faculté du cerveau à pouvoir se remodeler tout au long de la vie, à différentes échelles (synapses, neurones, réseaux neuronaux). Ce processus, indispensable aux apprentissages et à la mémoire, est également mis en jeu suite à des lésions cérébrales.
Les écosystèmes abritent une grande diversité d’espèces, de traits fonctionnels et d’interactions. Parce que les individus établissent des interactions multiples avec d’autres individus et avec leur environnement abiotique, les systèmes écologiques présentent des dynamiques complexes en réponse aux différents types de perturbations. Comprendre comment les systèmes écologiques, des populations aux écosystèmes, répondent aux perturbations et les mécanismes associés à leur résilience ainsi qu’à leur stabilité est un enjeu majeur de l’écologie contemporaine.
La myéline, permettant une conduction rapide des influx nerveux, est apparue chez les Gnathostomes, les Vertébrés à mâchoires. Une équipe de Cambridge a mis en évidence que le gène RetroMyelin, d'origine rétrovirale, est crucial pour la formation de la gaine de myéline.